Manoche en… fin chef !

Création partagée

Humour, théâtre et orchestre d’harmonie

Formes extraites du logo de not'Compagnie pour le spectacle Manoche en… Fin chef !

L’harmonie d’un vrai projet de territoire !

Invité par l’orchestre dans lequel il a débuté la musique il y a 40 ans, Manoche se retrouve pour la première fois à la baguette.

Reconnu comme un artiste protéiforme, il doit troquer son costume de scène pour celui de chef d’orchestre. Manoche cette fois n’est pas seul en scène, son pari :  diriger en fin… Chef ! Clown et orchestre devront s’apprivoiser, expérimenter, se faire confiance et jouer.

Dans cette carte blanche, devait naître un accord envoutant mais dans l’émotion, les sens se mélangent : de l’orchestre, du public ou de Manoche, qui dirigera qui ?

PUBLIC : spectacle tout public.

DURÉE : 1h25.

Distribution :

Emmanuel VAN CAPPEL, auteur-interprète,  Jean-Philippe LUCAS RUBIO, metteur en scène, Matthieu TASSEAU, régisseur. Thomas Biwer, comédien, Vincent Gallet, collaborateur artistique.

Soutiens et co-production du spectacle :

Production Not’ Compagnie, soutenue par le conseil départemental d’Eure et Loir, les Prairiales d’Epernon et le Carré Belle-Feuille de Boulogne-Billancourt.

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Emmanuel Van Cappel donne vie à un personnage aussi touchant que drôle, dans la tradition de l’humour clownesque que dans celle des chansonniers. Performance parfaitement complétée par l’orchestre qui joue ici un rôle autant musical que théâtral, devenant un acteur à part entière de la farce orchestrée par Manoche. Ouest France

Un spectacle-concert tout à fait inédit et surprenant. Emmanuel Van Cappel propose là une expérience artistique unique ! Le JSL

Emmanuel Van Cappel, alias Manoche, en clown musicien, a joué en virtuose avec les mots. Le final haut en couleur, avec un orchestre de 56 musiciens rassemblés avec l’artiste en démonstration de son talent à la trompette, a ravi un public enthousiaste. Courrier de l’Ouest

Ils ont réalisé le projet :

Harmonie de Petite Camargue (30) – Harmonie des Montils (41) – Harmonie de Boulogne-Billancourt (92) – Société musicale de St Rémy (78) – Harmonie de Sablé/Sarthe (72) – Ensemble Orchestral de Mantes -la-Ville (78) Harmonie de Cluny (71) – Harmonies de La Loupe et de Senonches (28) – Orchestre de l’école de musique d’Avrillé – (49) Harmonie de Marcoing (59) – Orchestre ” les aéronautes ” (33) Harmonie de Jacou (34) – Harmonie de La Chapelle-St-Mesmin (45) – Union musicale de Manziat (01) – Harmonie de Châtelaillon-Plage (17) – Harmonie de Pertuis (84) – Harmonie de Couches (71) – Orchestre d’harmonie de la ville du Lude ( 72) – Harmonie de Beaufort-en-Anjou (49) – Harmonie du conservatoire de Istres (13) – Harmonie de Salies et Banda Los Aigassuts

Toutes les dates :

  • Dimanche 8 octobre, Espace Ronsard, 15h00, LE LUDE (72)
  • Dimanche 26 novembre, Centre René d’Anjou, 15h00, BAUGE EN ANJOU (49)
  • Dimanche 11 février, l’Usine 233, ISTRES (13)
  • Samedi 17 février, Salle Jean Monnet, SALIES EN BEARN (64)
  • Dimanche 14 avril, Salle des Hauts de Lutz, BEAUGENCY (45)
  • Samedi 27 avril, Espace Cassel,  GRAU DU ROI (34)
  • Samedi 4 mai, Salle Georges Carlier,  SOLESMES (59)
  • Samedi 25 mai, 20h30, Salle Beauséjour, CHATELAILLON (17)
  • Samedi 9 novembre, RAON L’ETAPE (88)
  • Samedi 16 & Dimanche 17 novembre, GIGNAC (34)
  • Samedi 30 novembre, SENS (89)

Les notes

Note d'auteur

Comme beaucoup, j’ai cru que le rôle d’un chef d’orchestre se limitait à remuer les bras devant les musiciens sans jamais réellement comprendre ce qui pouvait se jouer entre eux. Donner la parole à Manoche, personnage lunaire décalé et intemporel, m’a permis de mettre en exergue ce qui se joue réellement entre un chef et son orchestre. Toujours avec naïveté et légèreté, il tentera des expériences pour éclairer des situations absurdes et pourtant bien réelles, dont tout le monde s’est accommodé au fur et à mesure, depuis des siècles sans savoir pourquoi.

Note d'intention

Les codes du plateau et celui d’un orchestre laissent peu de place à notre imagination : aussitôt qu’un orchestre, puis son chef, entrent sur scène, le public s’attend à un concert.

Et si on bousculait les codes pour mieux comprendre ce qui se joue ? Et si l’orchestre devenait le public et inversement ? Et si le chef se laissait diriger ?

Pour les musiciens, ce spectacle leur fait découvrir un autre état de présence, celui du corps, une conscience de jeu qui ne se limite pas uniquement à celui de l’interprète musicien, mais aussi à celui de l’acteur, pour un nouveau rapport avec le public.

Pour le directeur musical de l’orchestre, ce projet permet d’offrir à ses musiciens une expérience artistique unique en les faisant évoluer sur scène d’une toute manière et ce, dans des conditions professionnelles du plateau.

Enfin, pour tous les lieux de diffusion, c’est l’opportunité de réunir sur scène un public qui fréquente peu les salles de théâtre et de créer un lien entre des professionnels et amateurs.

Note musicale

« Manoche en… fin chef ! » se joue avec un orchestre d’harmonie professionnel ou amateur. Son chef sera amené à choisir le répertoire en collaboration avec Manoche. Il en dirigera une partie pendant le spectacle. Quelques morceaux et extraits simples seront à travailler par l’orchestre (dont 1 par cœur) et dirigés par Manoche.

Aucun niveau n’est exigé mais disons qu’un grade 3 minimum (milieu second cycle) est conseillé. L’effectif idéal est de 25 musiciens minimum sans limitation supérieure.

L’orchestre devra comporter si possible un hautbois et un pupitre de percussion.

Note de mise en scène

Ah ! Mettre en scène un auteur vivant, une écriture pleine de verve et d’humour, un joueur de musique et de mots ! L’écriture d’abord. Une jonglerie permanente de traits d’humours, d’humeurs, de glissements, de glissendi ! Des mots naïfs et décalés, qui coulent, se bousculent, se reprennent, s’enchaînent, une logorrhée drôle et tendre sur un monde, notre monde en même temps que sur le monde musical.

Le personnage de Manoche. Une sorte de clown musicien des mots et des sons, candide et rêveur, maladroit et rocambolesque, pertinent et impertinent, qui s’inscrit autant dans la tradition des clowns tristes et poètes que dans celle des chansonniers et des comiques troupiers, bien qu’ancré dans notre XXIe siècle. Manoche cette fois n’est pas seul en scène. Le clown musicien doit – c’est son pari – diriger un orchestre ! Il doit le mener à la baguette. Mais il n’est pas encore chef, et malgré lui, il repousse en permanence l’échéance. Clown et orchestre devront s’apprivoiser, expérimenter, se faire confiance et jouer.

L’orchestre. Voilà un challenge intéressant. Il aura pour une fois une double fonction : musicale et théâtrale. L’orchestre sur scène en plein centre devient l’attention de tous. Un personnage. Autant que le chef/clown. Il jouera de la musique bien sûr, mais deviendra aussi acteur collectivement et pour certains musiciens individuellement. Ce sera l’occasion pour des musiciens d’éprouver une autre place sur un plateau. Quant au public – que serait un clown sans public ? – lui aussi sera l’objet des hésitations, expérimentations et questionnements de notre « expert » musical, encore un partenaire à part entière…

Notes de presse

Un spectacle-concert tout à fait inédit et surprenant. Emmanuel Van Cappel propose là une expérience artistique unique ! JSL-Le journal de Saône et Loire

Un clown mais aussi un excellent trompettiste. Un orchestre qui n’a sans doute jamais joué de façon aussi peu statique. Le courrier Mantois

Au-delà des fantaisies, le clown-musicien se montre en fait très avisé et finit par se révéler également très bon musicien. La nouvelle république

Emmanuel Van Cappel donne vie à un personnage aussi touchant que drôle, dans la tradition de l’humour clownesque que dans celle des chansonniers. Performance parfaitement complétée par l’orchestre qui joue ici un rôle autant musical que théâtral, devenant un acteur à part entière de la farce orchestrée par Manoche. Ouest France   

Remarqué au festival d’Avignon, Manoche s’invite le plus souvent dans des formations de tous types et le public n’assiste plus à des récitals classiques mais rit aux mimes et pantomimes de l’artiste qui certes prend le contrôle des musiciens mais ajoute le rire à la musique. La Voix du Nord